Courts Mais Trash

Cinema | Les Riches-Claires

Dates
Du 14 au 17 janvier 2015
Horaires
Tableau des horaires

Contact
http://www.lesrichesclaires.be
accueil@lesrichesclaires.be
+32 2 548 25 80

Moyenne des spectateurs

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Courts Mais Trash

Dix ans depuis la première projection de courts métrages indépendants aux Riches-Claires, plus de cent séances, des centaines de films projetés et depuis trois saisons une formule festival qui rencontre de plus en plus de succès. Pour célébrer dignement cet anniversaire, voici le programme :

Une sélection Deluxe qui permettra de revenir sur des réalisateurs qui ont montrés leur premier film sur notre écran et de jeter un œil sur leur évolution (suivi du verre de l’amitié).

Il y aura également les séances Best of dont la très attendue « Spéciale courts mais super trash » mais aussi deux fois plus de compétitions nationales et internationales avec le public comme seul jury (la Sabam offrira 1000 euros aux gagnants).

En ce qui concerne le « Long mais trash », un hommage sera rendu à Jean-Jacques Rousseau, cinéaste de l’absurde par excellence disparu récemment, avec un documentaire réalisé par les Frères Pasquet.

Au final, 4 jours de projections, des invités, des surprises et une After Trash Party de clôture. On donne tout pour cette édition collector !

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2 Messages

  • Courts Mais Trash

    Le 17 janvier 2015 à 06:10 par miche271

    bien sur il faut parfois s’accrocher car c’est parfois vraiment tres trash, mais le public etant majoritairement le meme que celui du BIFFF, je vous garanti des soirees tres decalees ou on rit plus qu’on ne tremble !

    Bon, allez, sur ce, j’y retourne, ce samedi soir derniere soiree Courte mais Trash de 2015, je ne veux pas rate ca. Frissons trashs garantis !

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  • Courts Mais Trash

    Le 1er février 2015 à 10:49 par Blabla

    On avait un peu d’appréhension avant d’aller voir "courts Mais Trash". Trash, on veut bien mais il y a des limites... Très vite, on s’est détendus, on a beaucoup ri avec des classiques du genre : "l’accouchement de Wendy" par exemple de Lewis Eizykman ou " le python" de Julien David. Superbe court "les Pécheresses" de Gerlando Infuso", présent dans la salle, ce soir-là. Possibilité de revoir ce dernier au festival Anima, durant les vacances de carnaval.

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Mardi 6 janvier 2015, par Palmina Di Meo

Festival Courts mais trash, 4 jours de délire


Du 14 au 17 janvier, le public sera seul jury des compétitions nationale et internationale du troisième festival Courts mais trash, avec à la clef un chèque de 1000 euros offerts par la SABAM.
Courts mais trash, ce sont 96 films répartis en 7 catégories pour faire le tour du meilleur des films décalés.
Programme complet des festivités sur :
http://www.courtsmaistrash.net/

Le festival Courts mais trash ouvrira ses portes en grandes pompes le 14 janvier avec une sélection dite « Deluxe » pour des retrouvailles avec les cinéastes qui depuis 2005 (date des premières projections indépendantes), ont été accueillis par cette manifestation hors des normes classiques.
Parmi eux, Gerlando Infuso, en lice pour les Magritte avec Les Pécheresses, avait signé le clip d’Emilie Simon Franky’s Princess, présenté en 2012. Lewis Eizykman, primé l’année dernière pour Maximilien dont se souviendra de ses mésaventures avec son piercing, revient avec La Momie (il est un habitué du festival depuis 2008). Il y aura encore Julien David, qui de Scream for thousands lake (2004) à Le Python (Prix du meilleur court au festival BD6Né), a régulièrement produit pour les chaînes Canal Plus et Arte. Pierre Teulières a un style très personnel que l’on reconnait de Bomb disaster à Goodbye Fantasy. Sans oublier dans la catégorie documentaire, le court multi primé de Jean-Gabriel Périot We are become death, sélectionné au Watch Docs festival.

En compétition nationale les 15 et 16 janvier, on retrouve deux films également en course pour les Magritte : Deep space, film d’animation de Bruno Tondeur, dejà primé du FIFF et L’Être venu d’ailleurs, portrait attachant de Dédée, prostitée et fière de l’être, de Guy Bordin et Renaud De Putter.
v. l’interview de Mélodie Wegnez, la monteuse du film :
http://www.dailymotion.com/video/x21rapt_interview-de-melodie-wegnez-monteuse-du-film-l-etre-venu-d-ailleurs_shortfilms
Le cinéma féminin est représenté par Jeanne Boukraa avec son film d’animation Dans la joie et la bonne humeur, regard sur une société d’êtres devenus immortels et dégénérés, par Naila Ma (Bonnie et Klet) et par d’Isabelle Detournay (L’infinité). A découvrir !
Toujours en concours national, Pain, Litière et Passion de Ruben Broucke et Mathilde Rémy sorti des Ateliers de La Cambre et présenté à Clermont-Ferrand, Perdue dans ton ventre, le clip de Julien Campione (parolier du groupe rap Punky Brewster) pour Carl et les Hommes-boîtes. Et bien d’autres… Attention, on trouve également en concours, En marge/Manifeste, un film de 2004, portrait de Jean-Jacques Rousseau, le cinéaste de l’absurde, récemment décédé par Gilles Labarbe.
A retenir encore : en hommage au cinéaste tragiquement disparu, Furor absurdus, le long métrage de Michel et Maxime Pasque, tourné dans les coulisses des films de J.J. Rousseau sera projeté jeudi 15 janvier à 22h30.

8 films français sur 18 au total sont sélectionnés en compétition internationale, parmi lesquels le film multi primé de Julien Patry PRKTRNIC (comme ça se prononce !), le prix spécial Cinémabrut : Turbo Vomi de Yannick Lecoeur, Inside de Pharma company, film noir de Mathieu Mai et last but not least, la vedette des réseaux sociaux : Supervénus de Frédéric Doazan sur les dérives de la chirurgie plastique.
Les Américains sont représentés par 5 réalisateurs parmi lesquels David Sandberg et Lotta Losten avec Lights out , un très court d’horreur, prix de la meilleure réalisation au festival de Bilbao.
Parmi plusieurs films brésiliens en compétition, L’homme qui a tué Dieu , un moyen métrage de Noé, retrace la chasse à l’homme par un indien d’Amazonie. Le film croule déjà sous les prix.

Une sélection Best Off pour clôturer un festival plus que chargé cette année, rétrospective des meilleures productions des dix dernières années avec entre autres Copier-cloner de Louis Rigaud, Condamné à vie, (La Cambre - 2010) par Hannah Letaïf et Vincent Carretey (prix Polycule 2011), Une vie , film autobiographique d’Emmanuel Bellegarde, Je vais à Disneyland d’Antoine Blondin, primé au festival d’Arkaos, et deux films encore frais dans nos mémoires Poste à pourvoir d’Alliouch Conchin (2013) et le collage d’archives Rester mince grâce à bébé de Fabien Rennet. Et pour les plus fans, une sélection Best of trash en fin de soirée.

Et encore cadeau, une présentation en « off » de films hors format avec 8 films belges sur 11 parmi lesquels El ladron de bragas réalisé dans le cadre du concours Clap ou pas cap du FIFF par Philippe Malempré, On the road with the Walking Dead par les frères Jacquet, et Sexcam, un diverstissement de Thierry Uyttenhoven, séléctionné par la télévision russe.

Le festival délocalise à Liège le 28 janvier.

Palmina Di Meo

Les Riches-Claires