Critiques
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Ya pas que la rigolade...
Zazie dans le métro





« N’oubliez pas l’Art tout de même. Y a pas que la rigolade, y a aussi l’Art ! » C’est écrit dans le texte impertinent de Raymond Queneau le Normand, (...)
25 avril 2017 , par
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Quand récit rime avec empathie
DEPAYSEMENT





Les histoires d’Ascanio Celestini sentent l’Italie. Mélange d’humanité, de délicatesse et d’émotion, teintées d’un humour qui évite le misérabilisme, (...)
24 avril 2017 , par
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Eloge de l’essentiel
Par les villages





“Passer par les villages !”, tel est succinctement le message de Peter Handke, qui ne prône rien d’autre qu’un retour à l’essentiel, à la nature et à (...)
23 avril 2017 , par
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Apprivoiser l’absence
Le jour, et la nuit, et le jour, après la mort





Durant deux jours et une nuit, trois hommes essaient d’apprivoiser l’absence : celle qui était une épouse, une mère, une soeur n’est plus là. Privés (...)
23 avril 2017 , par
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Des comètes en folie !
Le Songe d’une nuit d’été





SHAKESPEARE s’empare de la mythologie grecque pour nous emmener d’emblée à Athènes où le Duc Thesée prépare ses noces, mais très vite, il nous plonge (...)
8 avril 2017 , par
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Lutter contre la déchéance annoncée
Tu te souviendras de moi





François Archambault avait envie de raconter une histoire inspirée par sa relation avec son beau-père, atteint de la maladie d’Alzheimer. Par pudeur, (...)
3 avril 2017 , par
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Joute endiablée
Conte de Fées





Les contes sont des institutions ! Quel plaisir rassurant de savoir que tout finira bien... Quel plaisir, vraiment ? Cette prévisibilité les rend (...)
29 mars 2017 , par
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Avec vous, toujours !
Après nous les mouches





C’est un spectacle plein de tendresse, un voyage à travers les souvenirs, un hymne à l’enfance, un cri d’amour, une ode à la (...)
25 mars 2017 , par
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Je tue, donc j’existe
Amours, à mort.





Dans "La Solitude d’un acteur de peep-show avant son entrée en scène", Paul Van Mulder donnait vie à un homme en plein désarroi. Après avoir vivoté, (...)
24 mars 2017 , par